Dima Korma

Dima Korma (né en 1988 en Ukraine)
artiste visuel basé à Berlin qui a étudié la communication visuelle
au Shenkar College of Engineering, Design and Art

son langage s’articule autour de formes abstraites,
d’une palette de couleurs audacieuses et d’éléments typographiques

Dima crée également dans l’espace public urbain
et ses compositions abstraites et puissantes
reflètent les éléments urbains qu’il a assimilés
lors de sa présence dans l’espace public,
tout en conservant son objectif premier :
trouver l’équilibre parfait entre espace, couleurs,
formes et typographie, réunis en une composition harmonieuse

visualiser son univers sur : www.instagram.com/dimakorma

en (faire) voir de toutes les couleurs

b o n j o u r
à tous

histoire de vous
EN (FAIRE) VOIR DE TOUTES LES COULEURS

dans le cadre des JEP2025
rendez-vous le dimanche 21 septembre 2025
chez @intergraphicfrance entre 14 & 18 heures
pour une performance imprimée
sur presse offset Heidelberg
conduite par 
Cyan / @laurentbourcellier
Magenta / @francisramel
Jaune / @julielaloy.jl
Noir / @bettinamuller09
de l’EEG @espaceeuropeengutenberg
&
Serge + Yannick
d’Intergraphic
———
9 rue du château d’Angleterre à Schiltigheim
accès tram(e) : ligne B arrêt Le Ried
puis 5 minutes de marche direction zone artisanale de la Vogelau

à bientôt
b*
pour&avec l’équipe BENDAY

les calligrammes de…

… Guillaume Apollinaire !

qui était-il ?
qui, voyant un de ses calligrammes
où il voulait représenter sur le papier
quelque chose de l’acte d’écrire,
n’a été tenté de l’imiter ?

ce fut un homme épique mais aussi un homme-époque
après lui les apparences que prend le monde ont changé

et pour décrire leur renouvellement,
nous utilisons encore les mots qui furent les siens
phare, balise, horloge du lendemain…

écouter cette émission qui en parle si bien par ici
voir aussi un site qui lui est dédié par

les 100 plus belles affiches de festivals de musique

retrouvez sur le site de Gonzaï le classement TOPAFF qui célèbre pour la 13e fois l’excellence du design graphique appliqué aux festivals de musique !

soyez curieux de découvrir les 100 designers graphiques qui ont créés ces affiches
& ayez l’œil certaines vous les avez vues chez nous à Strasbourg !
(par exemple l’affiche #12)

démostratif festival : peurs fantômes

ce « petit » festival a lieu toute une semaine chaque début juin
depuis plusieurs années sur le Campus Esplanade de Strasbourg

en plus d’y aller faire un [dé]tour pour voir / écouter qqs spectacles…
c’est sa forte & impactante comm’ qui devrait vous parler !
elle est réalisée par une de mes très anciennes élèves : sandra miller
qui m’a confié que le brief cette année était de réaliser
un chat qui a l’air d’une chauve-souris

en complément à tous les objets déclinés puri média présentés en mon cours
retrouvez les informations à propos de cet événement via les réseaux sociaux
qui eux aussi sont utilisés de manière exemplaire pour communiquer :
www.instagram.com/demostratiffestival

entre les pages

La designer graphique Fanette Mellier a mené l’exploration d’un support familier et quotidien, le marque-page. Elle a imaginé 13 signets pour les 13 médiathèques du réseau municipal et eurométropolitain, chacun se distinguant par un format, une impression, un façonnage spécifique. Elle s’est associée à l’illustratrice et autrice Betty Bone qui a rédigé les petits textes destinés à les accompagner.
L’exposition présentée à la Médiathèque André Malraux de Strasbourg du mercredi 24 avril au samedi 13 juillet 2024 est conçue comme une restitution de ce projet original et, un dialogue avec les collections patrimoniales strasbourgeoises. Les marque-pages sont en effet insérés entre les pages d’une sélection de livres anciens avec lesquels se tissent d’étranges liens.

Dans chacune des médiathèques du réseau municipal et eurométropolitain, les visiteurs et visiteuses sont invités à découvrir le projet à travers une installation artistique et, pourront aussi chercher et collecter les précieux marque-pages glissés parmi les collections.

la fabrication du livre

Un peu d’histoire…
Jusqu’au 15e siècle, les livres, ou « manuscrits », sont entièrement reproduits à la main par des copistes. Entre 1430 et 1450, Gutenberg met au point la technique révolutionnaire de l’imprimerie, qui permet de reproduire mécaniquement les textes au moyen de caractères mobiles en métal. En 1772, soit plus de trois siècles plus tard, L’Encyclopédie de Diderot et D’Alembert présente les étapes de fabrication du livre au siècle des Lumières, bien avant son industrialisation au 19e siècle.

Découvrez le dossier « Le Livre à l’époque moderne (16e-18e siècles) »
sur les Essentiels de la BnF