la lithographie

ce film a été réalisé à l’atelier Stéphane Guilbaud à Paris lors de la réalisation de la lithographie Drame dans l’Aquarium de Hervé Di Rosa, éditée par MEL Publisher

vous y découvrirez pas à pas le procédé d’impression qu’est la lithographie, depuis le grainage de la pierre jusqu’à son impression

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il est présent sur tous les claviers d’ordinateurs
et dans chacun des mails envoyés sur Terre

voici l’histoire de l’arobase dont la graphie ressemble étrangement
à un signe utilisé au Moyen-Âge

des yeux en forme d’amande

en février 1919, Amedeo Modigliani écrit depuis la Côte d’Azur à son marchand et ami resté à Paris : « Mon cher Zbo, j’attends qu’une petite tête que j’ai faite de ma femme soit sèche pour vous envoyer les toiles »

retour sur l’histoire d’amour maudite du peintre avec sa muse, et elle-même artiste, Jeanne Hébuterne

les calligrammes de…

… Guillaume Apollinaire !

qui était-il ?
qui, voyant un de ses calligrammes
où il voulait représenter sur le papier
quelque chose de l’acte d’écrire,
n’a été tenté de l’imiter ?

ce fut un homme épique mais aussi un homme-époque
après lui les apparences que prend le monde ont changé

et pour décrire leur renouvellement,
nous utilisons encore les mots qui furent les siens
phare, balise, horloge du lendemain…

écouter cette émission qui en parle si bien par ici
voir aussi un site qui lui est dédié par

cours TYPO dans le métro à la CAP

1900 : les typographies de la Compagnie du métropolitain de Paris (CMP)
1900 : la typographie Hector Guimard
1910 : la typographie carrelée de la Compagnie du Nord-Sud
1922 : la typographie carrelée de la Compagnie du métropolitain de Paris (CMP)
1959 : la typographie des stations carrossées
1973 : la typographie « Métro » d’Adrian Frutiger
1976 : la typographie « RER – Formula One » d’Albert Boton
1996 : la typographie « Parisine » de Jean-François Porchez

pour en [sa]voir plus
RDV sur le site de la RATP

élégance & modernité

L’exposition Élégance & modernité : l’illustration au temps de l’Art Déco, présentée à la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg (Bnu) du 12 avril au 12 juillet 2025, explore le champ de l’illustration et des arts graphiques de l’entre-deux-guerres et montre comment cette expression artistique s’y est pleinement épanouie.

La typographie utilisée pour l’affiche et pour qqs titres de la scénographie de cette exposition a été dessinée par Jean Alessandrini et numérisée par Olivier Nineuil.

les 100 plus belles affiches de festivals de musique

retrouvez sur le site de Gonzaï le classement TOPAFF qui célèbre pour la 13e fois l’excellence du design graphique appliqué aux festivals de musique !

soyez curieux de découvrir les 100 designers graphiques qui ont créés ces affiches
& ayez l’œil certaines vous les avez vues chez nous à Strasbourg !
(par exemple l’affiche #12)

La Bible de Gutenberg

Dans cette vidéo de la BNF, Johannes Gutenberg nous raconte comment il a résolu le problème de la reproduction mécanique des textes, en mettant au point une innovation capitale : l’imprimerie à caractères mobiles. Ainsi, vers 1454-1455, il est à l’origine du premier grand livre imprimé en Occident, auquel on donne aujourd’hui son nom. Depuis le 13e siècle, la demande en livres est réelle, mais on ne sait pas les fabriquer mécaniquement, et ils restent manuscrits, c’est-à-dire reproduits à la main par des copistes. Né vers 1400 à Mayence, le jeune Gutenberg s’entoure très tôt d’artisans du métal et de négociants compétents pour monter des affaires ambitieuses. Il part vivre à Strasbourg où il monte un atelier de production d’enseignes de pèlerinage, et il a la grande idée de détourner ce procédé pour fabriquer les caractères typographiques. L’autre composante essentielle de son invention est la mise au point de la presse, qui sert à reporter l’empreinte des caractères sur le papier. Il s’inspire pour cela des pressoirs des papetiers et de ceux des vignerons. En 1448, de nouveau à Mayence, son invention est opérationnelle, et grâce à ce procédé révolutionnaire, il entreprend l’impression de la Bible.

fais-moi un signe d’Afrique !


Adam Yéo designer et chercheur ivoirien
travaille depuis quelques années
sur la représentation des symboles et des scripts graphiques
ou écritures traditionnelles africaines dans le design graphique
et étudie comment ces symboles graphiques
et scripts peuvent être appliqués
au design moderne afin d’inciter les artistes et les designers
à utiliser le riche patrimoine culturel en Afrique
pour résoudre des problèmes de design